Message de Hocine AIT-AHMED aux Algériennes et aux Algériens

haa.jpgPour une alternative démocratique et pacifique 

Le droit d’avoir des droits

Les révolutions en cours en Tunisie et en Egypte, la magnifique leçon de courage, d’organisation et de détermination populaire qu’elles ont donné à voir au monde entier nous interpellent directement. 

Les développements dramatiques que connait la légitime demande populaire de changement démocratique en Libye ont révélé au monde les pics de sauvagerie dont sont capables des dictateurs fous n’ayant de compte, à rendre à personne. Et surtout pas à leurs peuples. 

La crise algérienne s’inscrit naturellement dans le cadre des crises en cours. Pour autant, il n’est pas question de céder à une quelconque «contagion démocratique » dans l’explication et le  traitement de chaque situation nationale.  Deux  «constantes» émergent pourtant de l’ensemble des révolutions en cours dans la région: D’une part l’existence de régimes prédateurs, impopulaires et inaptes à porter la demande de liberté et de dignité de leurs populations. Et d’autre part une forte réaffirmation, par les peuples, du droit d’avoir des droits. 

Les ََAlgériens, qui se sont de longue date inscrits dans le combat pour la démocratie et le changement de régime,  ont pour cela payé un prix très lourd. 

Si les mobilisations populaires tunisiennes et égyptiennes nous rappellent dans leurs prémices le »printemps démocratique » (89-91), le scandaleux bain de sang déclenché par El Gueddafi rappelle quant à lui la furie éradicatrice des années 90 qui a déchainé – à l’intérieur et à l’extérieur des institutions- des algériens contre d’autres algériens durant toute une décennie. 

C’est pour que l’Algérie n’ait plus jamais à payer un tel prix pour la maitrise de son destin, qu’il incombe aux algériens, dans la diversité de leurs convictions et de leurs appartenances, d’indiquer clairement la voie de la construction politique en alternative à la voie de la confusion et de la violence. 

Il est plus que jamais temps de mettre à nu les pratiques de dépolitisation et de désarmement moral propagées par les tenants de la violence. 

Trop pressés de substituer leur agenda à celui de la société, ils ont voulu profiter de quelques confusions médiatiques soigneusement entretenues pour semer encore une fois le trouble. 

A chaque fois que cela sera nécessaire il faudra apporter les clarifications indispensables à une véritable construction politique nationale, démocratique, populaire et pacifique. 

Il serait  grave d’oublier le lourd tribut payé par les algériens depuis des décennies. Grave de considérer ces années de terreur et de folie comme ne «  simple erreur de parcours » sur laquelle il faut pudiquement tourner la page. Croire cela possible c’est insulter autant l’humanité de ce peuple que son sens politique. 

C’est sur un socle d’amnésies successives que les régimes autoritaires post- coloniaux ont bâti, en Afrique et dans les pays arabes, des légitimités factices. C’est sur ces amnésies que des générations de cliques arrogantes et prédatrices se sont arrogé le droit de cracher un révisionnisme insultant à l’égard de nations bafouées. 

Le révisionnisme ne consiste pas seulement à nier les luttes populaires d’hier, il consiste également à refuser aux peuples de leur reconnaitre, aujourd’hui, les qualités de maturité, d’unité, de solidarité et de lucidité dont ils ont su être capables hier. 

A trop  vite oublier que les peuples ont une mémoire, que cette mémoire structure leurs adhésions et leurs rejets, les régimes finissent par  perdre tout lien avec leurs sociétés. 

Tous les peuples ont soif de liberté. 

Tous les peuples ont soif d’égalité, de justice et de dignité. 

Tous les peuples mènent des combats et les paient horriblement cher avant de les voir aboutir. 

Il y a plus d’un siècle que les algériens ont entrepris leur longue marche vers la liberté et la dignité dans leur acception politique moderne. (La marche est ici entendue dans son sens de mise en mouvement d’une société engagée en profondeur et non pas un bref footing en ville) 

Le rajeunissement nécessaire des élites, les nouvelles formes que prennent leurs luttes, l’extension du champ de leurs revendications, qui secoue le vieux fonds classique des combats de leurs aînés, ne doit pas servir à l’odieux dessein de couper les générations en tranches jetables. Le combat pour l’indépendance nationale et le combat pour la démocratie sont indissociables. Ceux qui ont cru que l’une pouvait faire l’économie de l’autre ont fait la preuve de leur échec. 

Cette marche sans cesse contrariée vers la liberté s’inscrit dans les combats des peuples du monde pour la conquête de leur souveraineté et de leurs droits. Elle ne relève ni d’une spécificité religieuse ni d’un particularisme régional. 

Elle procède d’un élan démocratique pour l’auto détermination collective et individuelle. 

D’abord dans le cadre des luttes de libération nationale. Ensuite contre des régimes despotiques et corrompus. 

Les luttes anti- coloniales ont abouti à des libérations inachevées. La liberté conquise de haute lutte par les peuples ne s’est pas inscrite dans des Etats, des institutions et des textes capables de les mettre à l’abri des forces hostiles à l’émancipation des peuples, des sociétés et des individus. 

C’est la part confisquée de démocratie, de liberté, de souveraineté, de citoyenneté, de justice et d’égalité devant la loi dans la construction d’un véritable Etat de droit qui a troublé les lendemains des indépendances. 

Et c’est cette part de liberté confisquée qui revient périodiquement, portée par de nouvelles générations, pour affirmer, haut et fort, que sans liberté des individus et des peuples il n’ya ni indépendance ni souveraineté nationale, ni développement économique, politique et social. 

Cinquante ans après la proclamation de l’indépendance nationale, nous voici face aux mêmes absences : Absence  d’un Etat de droit, absence de vie politique, absence de constitution digne de ce nom,  absence d’institutions légitimes  capables de protéger le peuple autant que le pays des abus et d’assurer son droit à vivre dans la liberté et la dignité. 

A peine l’indépendance proclamée par le peuple algérien et reconnue par la puissance coloniale ; un régime oppressif n’a ni tergiversé ni hésité avant de confisquer cette indépendance en enterrant les rêves démocratiques, les droits et la liberté. 

On ne peut pour autant mettre sur un même plan la détresse et les souffrances des algériennes et des algériens dépouillés au lendemain d’une liberté chèrement acquise et les imposteurs qui ont confisqué leur droit à l’autodétermination. 

Ceux qui ont crié sebaa snin barakat ! en 1962  avaient raison d’exprimer leur lassitude, leur trop plein de souffrance et de sang, leur rejet des divisions, leur crainte des guerres de factions. 

Mais ils avaient politiquement tort. 

Tort de croire que les divergences politiques de fond se règlent par des embrassades. 

Tort de croire que les promesses d’unité et de fidélité aux principes de la révolution peuvent se suffire de discours. 

Tort de croire qu’une constitution n’est qu’une formalité sans conséquence. 

Tort de croire que l’indépendance d’une nation et la souveraineté d’un peuple peuvent se suffire d‘une page sanglante vite tournée. 

Mais ils avaient raison mille fois raison d’affirmer haut et fort que ce peuple a trop payé de son sang ! 

Des décennies plus tard, il est non seulement impératif de rappeler que le sang des algériens n’a que trop coulé, mais il est aussi impératif de rappeler que c’est aux institutions politiques qu’il appartient de veiller à ce que le recours à la violence ne soit plus la seule option laissée aux algériens. 

Cela s’appelle le droit d’avoir des droits. Et cela s’adresse à tous. 

Ici, il faut souligner les convergences de vues qui existent entre ceux qui ont choisi la voie de l’exclusion, à l’intérieur comme à l’extérieur des institutions. 

Ni Etat intégriste ni Etat policier.  

Le malheur de l’Algérie n’aurait pas été si sanglant, ni son désarroi si profond, si le choix de l’exclusion et de la violence n’avait été le fait que du pouvoir. Il se trouve que des courants au sein de la société se sont construits exclusivement sur l’apologie de l’exclusion et de la violence. Quel que soit le lourd soupçon de manipulation par le pouvoir réel qui pèse sur ces courants, il n’en demeure pas moins qu’une clarification de leur part demeure indispensable pour signifier clairement un saut qualitatif dans la formulation du sacré en politique. 

Ce qui est sacré, ce n’est plus seulement le sang déjà versé, c’est aussi la construction d’un système politique qui rende sacrée la préservation du sang des algériens. Et cela ne sera possible que dans le cadre d’un Etat de droit, construit précisément par les gens pour respecter et faire respecter le droit des gens. 

Il serait léger de croire qu’il suffirait de dissoudre des institutions ou des partis pour que sortent de leurs décombres d’autres institutions et d’autres partis tous prêts pour un usage démocratique. 

Tort surtout de croire que l’union est dans le reflux du politique au profit du fusionnel.  Les unions sacrées et les faux consensus ne donnent que de fausses solutions). 

A chaque moment-clé de notre histoire nous avons été mis en demeure de choisir entre les instruments du politique et les illusions politiques. A chaque fois nous avons dit non aux illusions et avons mis en avant les instruments du politique. 

Un Etat de droit, des institutions fortes de leur légitimité, une justice indépendante, des contre – pouvoirs efficaces, une vie politique démocratique réglée par un contrat national, social et politique qui garantisse les libertés individuelles et collectives au même titre qu’il se porte garant de la justice sociale. 

Le droit à la sécurité, au travail, au logement, à une scolarité de qualité, à une santé de qualité, à une justice de qualité, à un environnement de qualité, à une vie culturelle de qualité sont des questions qui intéressent tout le peuple. 

Et par ce que ces questions intéressent tout le monde, elles mettent en jeux des intérêts contradictoires. 

Comment gérer ces contradictions ? 

La révolte d’octobre 88 a porté ces questions à travers l’irruption de la jeunesse dans la rue. Le pouvoir a riposté avec sa violence habituelle en semant la mort et en recourant à la torture. 

Les réformes politiques et économiques initiées de l’intérieur du régime, combattues avec violence à l’intérieur et à l’extérieur du régime n’ont pas permis d’éviter la guerre. 

20 ans de violences, d’errements  sécuritaires, politiques et économiques ; preuve est faite, que le primat du droit peut seul permettre une gestion pacifique de conflits d’intérêts contradictoires. 

Nous croyons, pour notre part, que les contradictions  se gèrent par la construction d’un rapport de force politique, basé sur les discussions, la négociation pacifique, l’arbitrage, et non réductible par la manipulation,  la ruse et la violence. 

Nous sommes, aujourd’hui encore, loin d’avoir remporté la bataille de la construction démocratique de
la Nation et de l’Etat Algériens. Mais nous n’avons jamais été aussi proches d’en voir les prémisses, portés par des pans entiers de la société. Pour accélérer ce processus, certaines vérités doivent être dîtes. 

Ce n’est pas seulement la peur qui se dresse devant la conquête du droit d’avoir des droits. 

Casser le mur de la peur, cela n’est pas nouveau : 

C’est ce qu’ont fait tout au long de ces années de braise et de sang tous ceux qui se sont levés pour dénoncer la dictature autant que le terrorisme. 

Oser clamer haut et fort,  en 1992, Ni Etat policier, Ni Etat intégriste, les militants du FFS et tous ceux qui se sont retrouvés à leurs cotés l’ont fait ; c’était autrement plus courageux et lucide de le faire à cette époque que ça ne l’est aujourd’hui, que la jonction des deux options se sont réalisés dans le régime politique en vigueur. Ces deux options sont aujourd’hui discréditées auprès de l’ensemble de la société algérienne.   

Casser le mur de la peur : 

C’est ce qu’ont fait les familles de disparus depuis des années en bravant la répression et les interdits. 

C’est ce qu’ont fait les avocats qui les ont soutenues et aidé à porter leur combat dans toutes les arènes nationales et internationales. 

C’est ce qu’ont fait les familles de victimes du terrorisme. 

C’est ce qu’ont fait les jeunes de Kabylie en 2001. 

C’est ce qu’ont fait les jeunes de Ghardaïa 

C’est ce qu’ont fait les jeunes d’Ouargla 

C’est ce qu’ont fait les jeunes des Aurès 

C’est ce qu’ont fait les jeunes de l’Oranie 

C‘est ce qu’ont les jeunes de Constantine. 

C’est ce qu’ont fait les femmes de Hassi Messaoud traquées et violentées qui ont osé défier la loi de l’omerta. 

C’est ce qu’ont fait les syndicats autonomes qui ont osé construire des rapports de forces en faveur des travailleurs  depuis des années.  C’est ce qu’ont fait certaines associations… Et tous ces quartiers d’Algérie rendus furieux par la l’exclusion et la hogra…Et ces bataillons de Harragas… 

Et même si cela n’a pas fait tomber le régime cela à participé à mettre en évidence ses tares et ses faillites. 

Pour l’autodétermination du peuple algérien. 

Il manque pourtant à toutes ces résistances à l’injustice, à la violence et à l’oppression un ancrage social plus large. 

Il leur manque l’aide et le soutien de médias libres et crédibles 

Il leur manque de se voir et de savoir ce qui les lie et ce qui les sépare et comment ne pas tomber dans les pièges de la division, de la dispersion et de la diversion… 

Mais  pour autant il serait vain de se mentir et de ne pas voir que le mur de la peur a été remplacé et aggravé au plus profond de la société  par un mur de lassitude et de dégoût devant la vénalité et la vassalité des fausses élites imposées à l’ombre de la terreur, de la mafia politico-financière, des élections truquées, des médias sous haute surveillance. 

Certes, la proximité des révolutions tunisienne et égyptienne donne un coup d’accélérateur à l’Histoire. 

Certes, le contexte international du 21ème siècle  ne peut plus se suffire des dictatures impopulaires et corrompues du siècle précédent. 

Certes, une époque s’achève avec ses références et ses outils de domination. Une autre est en train d’émerger avec de nouveaux acteurs, de nouvelles générations et de nouvelles méthodes de lutte. 

Et, plus que jamais auparavant, la libre auto- détermination des peuples est partout à l’ordre du jour. 

C’est pour l’empêcher que des solutions illusoires sont montrées par les mêmes vieilles officines qui ont fait le malheur de ce pays. Des solutions qui mettent de nouveau de côté la mobilisation de la société et son organisation pacifique. 

Il est des circonstances de l’histoire où il suffit d’un bulletin de vote pour exprimer l’auto-détermination d’un peuple. 

C’est le cas pour mettre un terme à une guerre d’indépendance. Mais pour mettre fin à une guerre de décomposition sociale, l’autodétermination du peuple s’exprime par une large mobilisation de toutes les composantes de la société à l’intérieur de tous les cadres qui sont à sa portée. 

Du collectif de quartier au mouvement syndical, de l’association écologique au mouvement d’étudiants et du mouvement des femmes pour leurs droits à celui des lycéens, des chômeurs,  de l’organisation autonome des cadres, des intellectuels, des universitaires à l’organisation sérieuse des entrepreneurs et de toutes les corporations. 

Pour que la vie des partis politiques ne soit pas qu’une lutte perpétuelle pour le positionnement interne. 

Pour que la vie politique nationale ne soit pas mise en hibernation entre deux élections. 

Pour que les militants des partis politiques ne soient pas pris en otage par des appareils qui se compromettent à négocier des privilèges indus. 

Et pour que le pays ne soit pas en permanence mis en demeure de choisir entre la peste de la guerre civile et le choléra de la dictature politique ou religieuse. 

L’autodétermination du peuple doit pouvoir s’inscrire en chaque chose petite et grande  de la cité. 

Pour que la politique redevienne un acte non coupé de la pratique citoyenne effective. Pour que chaque algérien apporte et assume sa part dans la construction et la sauvegarde de son pays. Une part qui ne peut se résumer au soutien apporté à une équipe de foot- ball ou à un drapeau accroché à un balcon. 

Avec le déclenchement d’une dynamique de débat national qui porte sur les préoccupations quotidiennes  des citoyens 

Avec l’éclairage des intellectuels, des universitaires et des experts engagés auprès de leur société sur la base des préoccupations et des souffrances vécues par cette même société. 

Avec la force de conviction et d’engagement des citoyens et des militants, et avec le retour de la confiance en soi et entre soi, le lien social et le lien politique seront de nouveau tissés. 

Pour une assemblée constituante. C’est seulement au terme d’une remobilisation citoyenne et politique d esA algériens que nous pourrons aborder l’ensemble du processus électoral devant aboutir à une refondation institutionnelle, qui remette les droits des citoyens, leur sécurité et leur développement ainsi que ceux du pays au cœur d’une constitution digne de ce nom, par ce que enfin issue d’une assemblée constituante librement élue par des algériens libres. 

Ceux qui participeront à l’élaboration de ce processus seront les premiers algériens véritablement libres, et ceux qui seront partis avant, ne se seront pas battus pour rien. 

Hocine AIT-AHMED 

Le mardi 22 mars 2011

Commentaires

1 2
  1. algerien dit :

    le miroir est toujour la merci pour ta presence presence. merci

  2. laglagui.Inchallah! dit :

    Les « jeunes de Kabylie en 2001″ étaient, aviez-vous dit à l’époque, « une création du DRS ». Alors ?

  3. mouhoub Louasli dit :

    merci ait Ahmed merci

  4. Mohand ou Hamid dit :

    Merci pour cette langue claire, prècise et libre… C’est toute l’Algérie généreuse et libre…C’est cette langue que les pouvoirs n’ont cessé d’occulter par des mattraquages de toutes sortes…
    Il nous faut nous reconquérir, nous rendre libres face à toute manipulation pour pouvoir agir librement et en toute conscience… Nous nous sommes laissé berner maintes fois…Mais, il nous suffit peu quand la langue est claire, précise et libre…
    Oui, UN GRAND OUI, pour une assemblée constituante afin que l’Algérie libre et diverse prenne place et mette en place les cadres nécessaires et constitutifs à sa liberté libre….afin que les Algériens puissent enfin dire : ensemble libérés….et puis se dire, se dire infiniment…

  5. Nirvana dit :

    @marzouk, tu n’a ni les capacités intect ni moral pour juger un homme d’une grande importance d’un niveau politique mondial,alors écoute applique et tais toi, si tu te retrouve et si tu veux être une chaire à canon vasy, je suis sur que dans ta vie tu n’a jamais manifesté pour tes droits.

  6. amazouz mohamed dit :

    celui ou celle qui s en prend à plus propre que lui ou qu elle……..nous dise » qui a assassiné « boudiaf » ???

  7. yacine dit :

    enfin le vrai, l’authentique si el hocine constant dans ses analyses et ses convictions. on retrouve les ideaux et les fondamentaux qui ont fait du ffs la seule source de propositions et le seul parti d’opposition réellement autonome. hélas les dérives successives que le parti a connu depuis 2002 l’ont tenu éloigné de ses propres valeurs. c’est peut être le retour du grand ffs. monsieur laglagui les jeunes de kabylie en 2001 n’taient pas dans les arouchs manipulés par les « moukhabarates »

  8. belaid dit :

    depuis  » almokadima d’ibn khaldoun » c’est la premiere fois que j’ai relu un texte autant de fois! mais comme notre Ibn Khaldoun a semé pour les autres ,vous aussi Mr Ait Ahmed ne vous entendront que les autres ! c’est la regle chez nous ! merci Mr Ait Ahmed

  9. abdellah dit :

    ya dda l’ho!!!que dieu te prete longue vie!!!!! ce qui me derange dans notre pays c’est que les gens sont conditionnés par le pouvoir . les commentaires ci-dessus (du nommé marzouk)en disent quelque chose!!!! l’algerie a plus que jamais besoin de toi!!!!!

  10. SALAH dit :

    On va assister a une déferlante de réactions de la part des BALTAGUI de certaines MILICES de soit disant opposition et de la mafia du régime en place.AIT AHMED dérange et provoque des cauchemards chez certains.

  11. slam dit :

    @Marzouk,on a vu ce que t’a rapporté la Rue dont tu parles!Le jeu de la diplomatie est nettement meilleur que la violence que tu prônes!

  12. smail dit :

    bonjour à tous
    je n’ai jamais été militant du FFS, j’ai été plûtot un adversaire. Ce grand Homme qu’est M. Hocine AIT AHMED ne laisse pas indifférent. je suis de ceux qui écoutent et qui entendent la voix ( voie )de la Raison. Cet homme n’est plus le dirigeant du FFS, c’est un buttin de guerre. A la fin de cette contribution en lisant la signature je me suis rendu compte qu’il est, pour ne pas dire le dernier , parmi les derniers dirigeants de la Révolution. Alors souhaitons lui longue vie.
    Tous mes respects M. Hocine AIT AHMED

  13. eninka dit :

    La remobilisation , voila un des mots clés du texte . Ces 20 dernières années en effet , le tissu social s’est fortement dégradé , les anciennes solidarités dont notre peuple s’enorgueillissait ont laissé la place à la prédation tous azimuths , la chose publique n’a de ce qualifiant que le mot et on regarde les vils , les bandits , les corrompus comme des forts au sens positif du terme si déjà l’on ne se trouve pas à les envier . La remobilisation autour de valeurs nobles , la réussite au bout de l’effort , la dignité … Tout cela , nous devons le retrouver et très vite pour amorcer le changement . Car en fait c’est cela le changement.

  14. ahcene dit :

    Comme toujours ait – ahmed fera des jaloux .Merzouk est un pitoyable citoyen .n en faites pas cas.l avenir donnera raison a si l hocine .que Dieu lui prolonge la vie.Le peuple triomphera de toutes les dictatures.

  15. nourdine dit :

    Dalho tjr égale a lui même, un vrais patriote.dalho quand tu parles tu nous redonnes confiance, tu nous éclaire, tu nous orientes.Nous jeunesse algérienne nous somme avec toi jusqu’à l instauration d une deuxième République basée sur la justice sociale. vive l Algérie gloire a nos martyres.

  16. bellal dit :

    comment faire une assemblée constituante avec les islamistes qui representent une majorité ecrasante en algerie, il faut que tout le monde pense à cette pathologie qui prend de plus en plus racine dans notre societé, en tout cas je respecte notre grand homme qui continue a lutter contre la mafia algerienne

  17. Djameleddine dit :

    Moi, j’ai eu l’honneur de connaître Mr Ait Ahmed Hocine et je ne peux que prier DIEU de lui prolonger la vie pour qu’il puisse voir l’aboutissement de la lutte qui surement fait 2 fois l’age de MERZOUK.

  18. rak dit :

    Salam, azul, bjr les ami(e)s

    ce texte pedagogique d’une grande lucidité est une reponse magistrale de Mr Ait Ahmed a tout ces detracteurs qui l’accusent d’etre deconnecté de la realité Algerienne ou ceux qui lui pretent des velleités de vouloir comploter avec Mr Mehri afin sauver le regime ou Bouteflika.
    Pour ma part, j’en releve quelques points qui me semblent fondamentaux dans ce message.
    L’appel pressant a une remobilisation pacifique, citoyenne et politique des algeriens afin de provoquer le retour de la confiance en soi et entre soi pour retisser le lien social et le lien politique.
    je suis egalement marqué par la derniere phrase du message : » Ceux qui participeront à l’élaboration de ce processus seront les premiers algériens véritablement libres, et ceux qui seront partis avant, ne se seront pas battus pour rien. »
    Da l’Hocine adresse un message a nous tous pour nous prouver que le Koursi n’a jamais été sa preoccupation essentielle mais les souffrances du peuple Algerien encore plus maintenant au crepescule de sa vie.
    Ellah ytewel aamrek Mr Ait Ahmed afin de continuer a nous eclairer par vos analyses pertinentes sur la situation dans notre chere Algerie.
    je me demandes si une version traduite en arabe existe de ce message afin de toucher le plus grand nombre, si non s’en occuper vite cher El Mouhtarem.. Merci

    When to free TAHYA ELDZAIER
    GLOIRE A NOS MARTYRS

  19. kamel dit :

    Je suis heureux de lire le texte de MONSIEUR AIT AHMED. Monsieur AIT AHMED, en lisant votre texte, on dirait vous vivez à Mostaganem, à Boumerdes, à Tizi-ouzou, à Alger, à Sidi-moussa….
    La seule chose que je peux vous dire. Vous êtes en phase avec votre ALGÉRIE. C’est le genre de politiciens dont l’Algérie à besoin.

  20. nassim dit :

    @rak , oui je te confirme ya une version arbe de cette letre, elle est publié sur le journal Echrouk , j’ai poste plain de commentaire sur l’article dans site d’echrouk , mais aucun commentaire n’es publier , peut etre je vais cretiqué da Elhou pour que mes coment soit publier sur leur site

  21. khaled Mehdi dit :

    JE me trouve très facilement avec ce GRAND MONSIEUR qui est AYETHMED que chez tous les dénozords qui ont géré el bled et qui nous ont semé une culture de merde basé sur la haine et l’orgueil une culture de division raciste congréée par la peure et la lâcheté nourri par le mensonge et l’ignorance… je serais un soldat qui passera facile a vos commande allah ykhalik w yessotrek berjal kifek te9wa el2irada nta3na la tehzani biladi c’est de ton droit de voir le printemps et je donnerais ma vie pour toi chere ALGERIE

  22. tarzan dit :

    laglagui.Inchallah!
    En 2001 Ait Ahmed a accusé les responsables Aarouche de DRS et non pas les jeunes qu’ils ont trompés.

    Le 03 Mai 2001 le FFS a organisé une marche sur Alger, pour dénoncer les exactions et les pressions que ces jeunes là subissaient juste pour s’être soulevés spontanément après le lâche assassinat de MASSINISSA. Malheureusement ce mouvement a été récupéré par Jesus, non pas envoyé de Dieu, mais plutôt envoyé du système.

  23. ait yahiatene dit :

    qui vivra verra que hocine ait ahmed a toujours raison dans ses analyses depuis 1962.
    donc faisant lui confiance c’est notre sauveur,allah ataouel fi 3amrou.
    en lisant votre contribution ya silhocine,nous constatons la lucidité dans tes propositions de sortie de crise .

  24. tarzan dit :

    « en 1992, Ni Etat policier, Ni Etat intégriste, les militants du FFS et tous ceux qui se sont retrouvés à leurs cotés l’ont fait. » C’est avec cette démarche que Ait Ahmed et le FFS voulaient interpeller les consciences pour ne pas tomber dans le piège sciemment mis en place par la caste au pouvoir. Voilà qu’aujourd’hui des peuples se révoltent contre leurs états policiers, et réfutent l’idée même de l’émergence d’un état intégriste, les jeunes excluent toute récupération de leurs mouvement par les islamistes.

    « Il est plus que jamais temps de mettre à nu les pratiques de dépolitisation et de désarmement moral propagées par les tenants de la violence. » Un pouvoir qui propage le sentiment du désarroi du politique, la lassitude de la pratique de la politique, la méfiance à tout politicien, cela est une manière pour défricher le terrain devant un pouvoir qui ne fait pas marche arrière pour faire aboutir ses desseins machiavélique, dans le but d’errer seul sans avoir à rendre compte à personne, puisque les vis à vis politiques sont dénigrés. C’est de cela que nous souffrons nous algériens depuis 1992. Mais cela n’incombe pas seulement au pouvoir et son parti unique, pour qui c’est légitime d’agir ainsi, cela incombe aussi à une certaine classe politique, qui a choisit l’option de filtre des ennemis ou adversaires, sans donner d’importance aux priorités dans le classement des ennemis. Car quelque soit les évènements les algériens ne doivent jamais oublier que le source de le malheurs vient de ce pouvoir et système militaire. Ce qui n’était pas le cas avec cette classe politique, qui en réponse au « Ni État policier, Ni État intégriste » ont brandit la formule >. Voilà une belle réponse, reste à la concrétiser, et encore une fois ce n’était qu’une ILLUSION, puisque leur choix était fait comme le souligne da L’HO
    #Et pour que le pays ne soit pas en permanence mis en demeure de choisir entre la peste de la guerre civile et le choléra de la dictature politique ou religieuse.# Voyez donc que nous avons perdu 20 ans pour le choix qu’ils ont fait de soutenir la dictature, et aujourd’hui ils prétendent et appellent le peuple dans l’agitation pour un ILLUSOIRE changement du système.

    DA L’HO, depuis toujours j’ai conseillé aux personnes que je connais de vous écouter et vous lire d’abord avant de se lancer dans des critiques caricaturales. Vous écouter et vous lire surtout pour les années d’expérience politiques que vous portez sur votre dos comme un fardeau, fardeau car elles ne vous laissent pas vous démobiliser et nous abandonner, aujourd’hui elles me donnent raison de vous toujours suivi avec attention. Je vous remercie pour cette voie de raison que vous indiquez aux algériens.

  25. espoir dit :

    اريد ان اشير الى ان حسين ايت احمد معروف بارائه المتزنة والعادلة هو دائما يدعو للسلم والسلام وهو ابو الديموقراطية والحرية الفردية دائما ما الكثير من الناس عندما يستيقضون من سباتهم العميق ك سي مرزوق يقولون عنده الحق حسين ايت احمد.

  26. kader dit :

    bonjour a tous j aimerais bien et beau dire que si chacun de chez nous apportera sa pierre comme le fait notre frere , ami et pere si el hocine l algeria sera toujoure belle et tro prospere. c que j aimerai aussi ajouter la c de choisir entre travailler pour l algerie comme l ont fais nos martyrs allah yarhamhoum en general et travailler pour soi cad pour le ventre . vue que la vie finit donc il vaut mieux de penser aux autres que de penser a soi mme .

  27. kader dit :

    en lisant quelques autres commentaires mes amis ,j ai la surprise de lire que certains aiment bien a repondre aux certains etres qui n ont pas de conscience . mes freres il y a un adage qui dit les chiens aboient la caravane …. mes freres excusez moi de lancer ce terme avec tous mes respects a vous , un con et un sans cerveau peut il etre un humain ???? ni ni ni , mme dans le saint coran ca se dit: certains gens que vous voyez devant vous sont comme des animaux ni reflexes ni consciences ni rien absolument. en fin le changement y sera tot ou tard et bravo a ceux qui ont participer dans la bonne construction merci.

  28. Salah dit :

    C’est une véritable alternative politique démocratique et pacifique! Da El Ho ne peut rester silencieux, lui le grand patriote qui a toujours resté proche de son pays, me^e en étant à l’étranger!

  29. social dit :

    moi je pense que donner des fleurs à Mr Ait Ahmed il n’a pas besoin il est entrain de vous demander ce que vous êtes entrain de faire pour la concrétisation de son voeux ou espoir le plus chère tant qu’il est en vie
    son message a été clair depuis 1963
    quand je lis des commentaires pareils sans lecture et propositions concrètes avec un agenda bien défini
    qu’avez vous fait un simple meeting dans une salle bien remplie avec des militants venus du territoire nationale
    alors que nous connaissant le VRAIS FFS IL EST CAPABLE DE REMPLIR CETTE SALLE AVEC UNE SEULE SECTION D’ALGER CENTRE DANS LE TEMPS
    AUJOURDHUI FAITE UN BILAN DES MILITANTS
    ALGER CENTRE
    SIDI MHAMED
    BELOUIZDAD
    EL BIAR
    BOLOGHINE
    ET AUTRES CINQUANTE SEPT COMMUNES
    IL NE RESTE A ALGER QUE X A CHERAGA ET Y A DELY IBRAHIM PAUVRE D’EUX
    KOFA BLAYADINNE
    SAVEZ POURQUOI IL VOUS A CITE LA RESTRUCTURATION ET L’AUDITE
    ET SAVEZ AUSSI POURQUOI L4AUDITE TRAINE A CE JOUR ET ELLE N’EST MEME PAS A L’ORDRE DU JOUR ?
    commencer deja à vous secoué de la poussière qui vous couvre pour mettre Mr AIT AHMED HEUREUX DE TOUS SON PARCOURS ET ENFIN IL SE SENTIRA DEVOIR ACCOMPLI CAR DERRIÈRE LUI IL Y A DES HOMMES SUR QUI IL PEUT COMPTER
    SAVEZ VOUS SERIEUSEMENT CE QU’A VRAIMENT ENDURER DURANT TOUTES CES ANNEES ?
    SAVEZ VOUS REELEMENT CE QUI LUI FAIT PLAISIR?
    SAVEZ VOUS CE QU’IL VEUT EXACTEMENT ?
    SAVEZ VOUS CE QUE PEUT RESSENTIR UNE PERSONNE QUI A TOUT DONNER POUR UN PAYS DANS LEQUEL IL NE SE RECONNAIT PAS ENCORE.
    VOUS NE SAVEZ QUE L’ACCLAMER PAR VOS ECRIS CE N’EST PAS CE QU’IL RECHERCHE IL EST ENTRAIN DE RECHERCHER DES HOMME COURAGEUX ET DES HOMMES QUI SAVENT SE SACRIFIER POUR LEUR PATRIE COMME LUI
    JE M’ARRÊTE LA POUR VOUS PERMETTRE DE BIEN RÉFLÉCHIR.

  30. TOUADI Kamel dit :

    Ait Ahmed étais un Homme révolutionnaire fidèle à ces propos, à ces idées, combattait durant toute sa vie pour la liberté du peuple Algérien et sa patrie.
    Concernant son parcourt, Ait Ahmed étais le seul politicien qui a initié la réconciliation nationale les années du bain de sang 1995, comme étant la solution de sortir de la crise malgré le refus de l’état à cette époque, dont la proposition recommandait par l’opposition (FFS).
    Ait Ahmed a défendu depuis 2001 son analyse pertinente que la solution adéquate pour faire sortir l’Algérie de la crise politique c’est de voter une assemblée constituante afin de préparer une nouvelle constitution scellé, à ce jour c’est la seule alternative politique qui donne espoir pour tous le peuple algériens de reconstituer ces institutions politiques librement en respectant leurs choix.
    TOUADI Kamel intimement convaincus aux analyses d’Ait Ahmed.

  31. Me dit :

    Ait Ahmed a les capacités de présider l’Algérie et de mener le pays a la démocratie. Mais les racistes d’Algériens et la mafia-Boutef-Generaux ne le laisseront pas.

  32. ulas dit :

    vive ait ahmed un valeureux homme fin politicien et integre qui n »a jamais mele son honneur a des magouilles ni materialismes sauvage vive les hommes libres et argaz je n »appartiens a aucun parti mais la verite c »est la verite

  33. hamid dit :

    vous parler de marzouk alors que je vois son message peut on le voir svp monsieur le modérateur.merci

  34. NARMOTARD dit :

    « Message de Hocine AÏT AHMED au Algériennes et aux Algériens », dites-vous.

    Message reçu cinq sur cinq! Merci avec toute ma reconnaissance patriotique.

    Je m’explique :

    Hocine AÏT AHMED, en tant que simple homme libre jusqu’à la moelle, profondément imprégné d’honnêteté, de sens politique et de démocratie, intellectuellement engagé en faveur des justes causes des peuples et des individus du monde, est l’un des meilleurs maîtres d’œuvre et d’ouvrage de la Révolution algérienne.
    Il me gratifie aujourd’hui, avec tous les citoyens de l’Algérie, d’un cours magistral de sciences politique et sociale, sur le thème de « L’alternative démocratique et pacifique ».
    Je m’applique, dans un esprit critique, à le méditer, à le disserter, avant de l’assimiler et le respirer comme une bouffée d’oxygène qui fait du bien, à travers ses cinq rubriques suivantes. :
    1°- LE DROIT D’AVOIR DES DROITS, pour que le recours à la violence ne soit plus la seule option laissée aux Algériens ;
    2°- NI ÉTAT INTÉGRISTE, NI ÉTAT POLICIER, et encore moins la jonction des deux ;
    3°- COMMENT GÉRER CES CONTRADICTIONS, par la construction démocratique d’un rapport de force politique basé sur les discussions, la négociation pacifique, l’arbitrage, et non réductible par la manipulation, la ruse et la violence.
    4°- POUR AUTODÉTERMINATION DU PEUPLE ALGÉRIEN, contre le mur de lassitude et de dégoût devant la vénalité et la vassalité des fausses élites imposées à l’ombre de la terreur, de la mafia politico-financière, des élections truquées, des médias sous haute surveillance. .
    5°- POUR UNE ASSEMBLÉE CONSTITUANTE, représentative sans exclusive, indépendante et souveraine, élue au terme d’une remobilisation, citoyenne et politique des Algériens, qui permettra d’aborder l’ensemble du processus électoral devant aboutir à une refondation institutionnelle qui remette les droits des citoyens, leur sécurité et leur développement ainsi que ceux du pays, au cœur d’une Constitution, digne de ce nom parce qu’enfin issue d’une Assemblée constituante librement élue par des Algériens libres ».

    Cet important texte constitue un constat de crédibilité indéniable de son contenu autant que de son auteur.

    La lecture de cette communication atteste que la fiabilité des prédictions politiques, économiques et sociales de Hocine AÏT AHMED, est précisément confirmée par l’Histoire, passée et récente.

    Son étude approfondie appelle à la mobilisation générale pacifique de l’ensemble des Algériennes et Algériens, pour poursuivre la bataille de la démocratisation de la nation et des institutions de l’État, afin de rattraper le retard que le régime de la RADP a fait prendre à l’Algérie, à travers son incompétence et sa méprisante politique de rejet « globalement et dans le détail » des constructives propositions du FFS de Hocine AÏT AHMED.

  35. salah achili dit :

    merci et longue vie pour notre cher president hocine ait ahmed .
    en tout ca les replique de cette enieme proposition de sortie de crise vont s’etendrent j’usqu’au palais de la DRS

  36. Idir 1980 dit :

    @SOCIAL

    C’est exactement ce quoi doit faire le FFS auquel nous croyons toujours.
    Ait Ahmed veut voir son parti très fort que jamais, car il est le seul parti à pouvoir guider l’Algérie vers la vraie réconciliation avec elle-même, avec son histoire, avec ses contradictions, avec ses forces et ses faiblesses. C’est le seul parti qui a le discours fort d’une Algérie prospère dans tous les domaines, politique, économique et social.

    Le FFS doit se mettre à jour, cela ne veut pas dire se conformer ou se normaliser, mais se mettre à jour par rapport aux réalités Algériennes d’aujourd’hui. J’ai suivi l’intervention de notre frère Karim Tabou sur la chaine 3 samedi 05 mars. J’ai vu que notre ami Karim n’a pas su profiter pleinement de cette tribune pour faire passer un maximum de messages. D’ailleurs, les réponses de Karim vis à vis des questions économiques du journaliste de la Tribune n’étaient pas convaincantes, voire pauvres. C’est pour cela que le parti, en interne et en concertation avec sa base (via les assemblées ou médias sociaux pour permettre aux militants de la diaspora de participer) doit se reconfigurer et mettre en avant notre ligne directrice en phase avec les exigences de l’heure.
    Il y’a bien beaucoup d’énergies qui adhérent au FFS mais ne militent pas automatiquement. Ils attendent des signaux clairs de la part du parti quant au fait de réunir les énergies actives ou dormantes. Pourquoi ne pas faire la réconciliation avec les anciens dirigeants du parti, lâchés ou évincés.

    Je suis et beaucoup de gens comme moi, à l’écoute de la direction du parti et nous sommes prêts à aider à construire notre pays, car les générations futures nous reprocheront notre passivité.
    Au bon entendeur salut!

  37. El hadi dit :

    Merci MONSIEUR AIT AHMED votre discours a rendu la crédibilité à la classe politique qui ne s’exprime plus depuis bientôt deux décennies et avait laissé place aux démagogues et aux opportunistes; encore merci à vous et au secrétaire général de votre parti qui, dans son discours à la salla atlas a fait preuve d’une grande qualité en temps qu’homme politique de la nouvelle génération. Votre présence sur la scene politique est plus que nécessaire et je suis convaincu qu’avec de tels discours votre crédibilité à l’échelle nationale ne fera que s’amplifier; si les rentiers du système seront oublié tôt ou tard, votre action politique pendant la guerre de libération est gravé à jamais dans les mémoires et dans les livres d’histoire, vos prises de position actuelles raviveront les mémoires des amnésiques et des ingrats

  38. Belaid Ait M dit :

    A 16 ans , il s’est engagé pour libérer le pays , à 84 ans il continue à le faire , et que faisons nous ????
    Pauvre de nous !
    Merci Ait Ahmed Hocine ( notre Mandela Algerien ) et merci El Mouhtarem d’ avoir suivi son chemin .

  39. arezki dit :

    C’est sur un socle d’amnésies successives que les régimes autoritaires post- coloniaux ont bâti, en Afrique et dans les pays arabes, des légitimités factices. C’est sur ces amnésies que des générations de cliques arrogantes et prédatrices se sont arrogé le droit de cracher un révisionnisme insultant à l’égard de nations bafouées.

    Le révisionnisme ne consiste pas seulement à nier les luttes populaires d’hier, il consiste également à refuser aux peuples de leur reconnaitre, aujourd’hui, les qualités de maturité, d’unité, de solidarité et de lucidité dont ils ont su être capables hier.

    A trop vite oublier que les peuples ont une mémoire, que cette mémoire structure leurs adhésions et leurs rejets, les régimes finissent par perdre tout lien avec leurs sociétés.

    Tous les peuples ont soif de liberté.

    Tous les peuples ont soif d’égalité, de justice et de dignité
    etc merci

  40. mohamed kherrata dit :

    Merci Mr Ait ahmed tes paroles sont juste sortent d’un coeur d’un algeriens jaloux pour sa nation tes dires sont d’une grand importance les analyse tres juste je prie dieu pour que tu assiste a une deuxieme republique et une assemblée constituante

  41. awghlis dit :

    merci d’alhoussine

  42. khelifa mustapha dit :

    khelifa mustapha says 18 septembre 2010,7 h 24 min

    khelifa mustapha
    Junior Member

    Date d’inscription: décembre 2008
    Messages: 4 rechercher des temoignages sur notre mere

    ——————————————————————————–

    bonjour ,par ce present,nous lancons un appel a tous les feddayins qui sont vivants,qui ont exerrce et combattu dans la casbah durant la guerre de liberayion nationale et qui ont cotoye notre mere prenommee atika.cette dernier de par sa connaissance ainsi que de sa penetrationdans toutes les ruelles de cette citadelle,qui lui permettait de circuler librement et d echapper aux barrages des militaires,lui ont valu le surnom de ((atika la taupe..touba..de la casbah)).nous savons pertinement d avance que se sont de minimes indices tres vagues,mais nous savons aussi incontestablement d avance que les vrais combattants de la casbah sauront la reconnaitre.elle qui des son jeune age par son esprit revolution,aire elle a epouse la cause nationale.impregnee pardes idees nationalistes,elle a mis sa vie en danger ainsi que celle de son foyer .elle residait dans les annees 1945 au 07 ruebarberousse dit((katarougi))puis en 1953 au 14 rue barberousse a la casbah a alger.c est dans cette maison((douyra))composee de deux niveaux,qui a ete le theatre et le refuge des feddayins,de cachette d armes ou de tracts et de ravitaillement pour les necessiteux durant la greve des huit jours.a l epoque,nous etions tres jeunes mais notre memoire reste toujours vivace pour nous rappeler de certains evenements.dans notre chambre d enfants,ou etait accroche en permanence l embleme national,il avaitdes matelas en crin ou etaient caches des armes et engins tels que grenades,pistolets,reveils,cordon.en possession d une (fausse)carte medicalede malade mentale,elle assurait,avec ses jeunes enfants,la liaison de courrier,de cotisation et d armes au profit de ces chefs hierarchique et ce malgre le couvre au feu qui etait impose.pour denoncitions,notre demeure a fait l objet de plusieurs perquisitios de la partdes de la dst et des parachutistes.notre mobilier a ete a maintes reprises saccagees et des bijoux ont ete voles par des zouaves.son fils aine abdelkrim,dit krim,assurait a aide de sa voiture une dauphine,le transfert d arme d alger sur hammam el meloane.ce dernier a ete arrete,emprisonne et torture a la caserne d orleans(actuellement ali khodja).il garde actuellement sur tout son corps les sequelles des electrodes par la gegene.en outre,elle a ete l instigatrice,du slogan ((sabaa snin barakat)),lorsque notre pays qui a acquis de haute lutte son independance allait sombrer dans la guerre civile.on ne connaissait des militants qui on ete heberges chez nous que leurs sobriquets.mais ces moudjahiddines saurout certainement se reconnaitre.apres l independance elle parlait souvent a ses petit enfants de ses quelque compagnons d arme,des heros de la casbah ainsi que de yacef saadi.elle fut une militante silencieuse.elle a accompli son devoir loin des feux de la rampe.mais maintenant qu elle est decedee suite aux sequelles qu elle a endurees durant toute sa vie,ses enfant veulent recolter des temoignager pour se souvenir et sauvegardes sa memoire.ses fils khelifa abdelkrim,merzak,mustapha,demandent a tous ceux qui connu leur mere de les contacter au 04 rue messaoud khiat a el-biar alger .ex rue du grand puit….et merci

    COMMENT LINK

  43. HAFID dit :

    GENEREUX, FIDELES, RESPECTUEUX, SIMPLE ET FRUGALE DES QUALITES QUI FONT DE VOUS UN VERTUEUX QUI SE MET AU PIED DE L’ALGERIE POUR LA LIBERTE DE SON PEUPLE.
    EN UN SEUL MOT: UN HOMME D’HONNEUR

  44. nourdine dit :

    nassim,moi aussi j ai posté plusieurs commentaires mais Echourouk ne les a pas publié.Mayhabounache, ghouchnagh agma.

  45. nourdine dit :

    idir 1980 je suis tout a fait d accord avec toi le FFS doit réunir tout ces enfants, therwa dway thourou. Nous voulons que le vrais FFS reviendra en force sur scène et jouer son rôle comme il se doit. Vive le FFS.

  46. Ameziane dit :

    Un texte au top du raffinement, une analyse pertinente. Toutefois le ton est pondéré, modéré. Et ne préconise pas le passage à l’action, et ne prone pas un changement radical pour/dans l’immédiat ! La presse l’avait reproduit largement.-A l’excèption du quotidien « Liberté », un organe du DRS (comme la plupart de cette presse dite « privée » (mais pas indépendante)…Comme ça ne présente une menace, un danger imminent pour la Junte…ça passe !

  47. mohamed kherrata dit :

    VIVE L ALGERIE LIBRE DEMOCRATIQUE AVEC TOUT LES ALGERIENS ENSEMBLE POUR CONSTRURE UNE ALGERIE NOUVELLE ET PROSPERE

  48. mohamed dit :

    D’abord je tien a remercier El Mouhtarem pour son site, ensuite Da elhocine le revolutionnaire, linfatiguable homme par son combat pour lalgerie . nous sommes fier de vous et lhistoire nous jugera. gloire a nos martyrs .

  49. eninka dit :

    Action : Se mobiliser activement et massivement autour du FFS et avec le FFS lors de ses prochains meetings pour lui permettre une évaluation objective , sans complaisance de ses capacités de mobilisation et les mouvements énergiques et pacifiques que la très grande majorité des algériennes et des algériens attend pour les changements avidement espérés viendront irresistiblement couronner nos premières actions

  50. rachid dit :

    azul.moi je pense qu’il faut a chaque fois rappeler aux decideurs et leurs allies,ainssi qu’aux islamistes le mal qu’ils ont fait pour l’algerie et le peuple algerien pour leur dire « plus jamais ça ».le changement ne peut venir ni du regime et ses satelites ni des islamistes.le peuple veut la paix,la liberte,la democratie,la justice sociale,l’etat de droit,le travail,la dignite,l’honneur,et tout ca ,on ne peut le retrouver ni chez les islamistes,ni chez le regime et ses sbirs.thanmirth.

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