Enseignement musical Des couacs et une rébellion dans le Haut-Rhin

Un collectif de professeurs estime que le Groupement des employeurs de l’enseignement musical (GEEM), qui rassemble 102 associations du département, ne respecte pas à la lettre le droit du travail. Un malaise révélateur des contradictions actuelles du secteur.
Textes : Olivier Brégeard - 09 nov. 2011 à 05:00 | mis à jour le 09 nov. 2011 à 08:40 - Temps de lecture :
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Yves Renaux, 40 ans, lors d’un cours de clarinette à Kembs. S’il souligne les avancées qu’a permises le groupement d’employeurs (statut pour les professeurs, convention collective, CDI, régulation des salaires…), ce diplômé d’État, membre du collectif Diapason 68, déplore aujourd’hui « une absence criante de dialogue ». « Un CE permettrait de faire évoluer les choses », estime-t-il. Photo Darek Szuster
Yves Renaux, 40 ans, lors d’un cours de clarinette à Kembs. S’il souligne les avancées qu’a permises le groupement d’employeurs (statut pour les professeurs, convention collective, CDI, régulation des salaires…), ce diplômé d’État, membre du collectif Diapason 68, déplore aujourd’hui « une absence criante de dialogue ». « Un CE permettrait de faire évoluer les choses », estime-t-il. Photo Darek Szuster

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